Reprise de Lumière 2021
Du 20 octobre au 16 novembre 2021
Jane Campion – Sydney Pollack – Kinuyo Tanaka
Gilles Grangier – Classiques – Raretés
Plaisirs du grand écran
Téléchargez le programme en pdf.
Prolongez le plaisir du festival Lumière avec notre sélection de films issue de Lumière 2021
Jane Campion - Prix Lumière 2021
|
|
Un ange à ma table de Jane Campion (An Angel at my table, 1990, 2h38)Janet, fillette singulière issue d’une famille nombreuse, voit son enfance marquée par des événements tragiques. Complexée, elle se réfugie dans la poésie... Un des films les plus marquants des années 1990, adapté de l’autobiographie de Janet Frame. Séances :
|
|
|
La Leçon de piano de Jane Campion (The Piano, 1993, 2h01)Ada, une pianiste muette (Holly Hunter), quitte l’Écosse avec sa fille (Anna Paquin). Son nouvel époux refuse d’installer chez eux le piano qu’elle a apporté. Ada accepte alors un pacte ambigu que lui propose leur voisin (Harvey Keitel)... Un film romanesque qui raconte avec puissance les pulsions amoureuses dévastatrices. Palme d’Or à Cannes en 1993. Séances :
|
|
|
Portrait de femme de Jane Campion (The Portrait of a Lady, 1996, 2h22)1872. Isabel Archer (Nicole Kidman) est une jeune Américaine à l’esprit libre et aventureux. Alors que la vie lui sourit et que plusieurs prétendants fortunés lui réclament sa main, cette idéaliste va faire d’autres choix... Un film d’un romantisme noir adapté de Henry James. Séances :
|
|
|
Holy Smoke de Jane Campion (1999, 1h55)Lors d’un voyage en Inde, Ruth (Kate Winslet) se laisse séduire par un gourou. Inquiète, sa famille, aidée du mystérieux PJ Waters (Harvey Keitel), imagine un stratagème pour la faire revenir… Un joyeux bric-à-brac qui mêle spiritualité et sexualité. Séances :
|
|
|
In the Cut de Jane Campion (2003, 1h54, int –12 ans)Un soir, Frannie (Meg Ryan) est témoin d’une scène intime entre un homme et une femme. Le lendemain, elle apprend qu’un meurtre a été commis dans son quartier. Malloy (Mark Ruffalo), l’inspecteur chargé de l’enquête, a le sentiment qu’elle sait quelque chose… Un thriller érotique à l’esthétisme sombre, influencé par le cinéma américain des années 1970. Séances :
|
L’Amérique de Sydney Pollack
|
|
Trente minutes de sursis de Sydney Pollack (The Slender Thread, 1965, 1h38)Alan Newell (Sidney Poitier), bénévole au sein d’un centre d’appels d’urgence, reçoit l’appel d’une femme (Anne Bancroft) qui, désespérée, a absorbé une dose mortelle de somnifères… Pour son premier long métrage, Sydney Pollack signe un film qui mêle intrigue psychologique et action policière. Séances :
|
|
|
Propriété interdite de Sydney Pollack (This Property is Condemned, 1966, 1h50)1930. Owen, agent des chemins de fer, est envoyé dans le Mississippi pour fermer une large partie des activités et licencier du personnel. Il fait la rencontre d’Alva (Natalie Wood)… Un film qui marquera le début d’une longue collaboration entre Pollack et Robert Redford, son acteur fétiche. Séances :
|
|
|
On achève bien les chevaux de Sydney Pollack (They Shoot Horses, Don’t They?, 1969, 2h09)En pleine dépression économique, les marathons de danse ont un succès retentissant. Robert et Gloria dansent à en perdre la raison… Un film bouleversant (dont la séquence du marathon est filmée en temps réel), adaptation coup de poing du roman d’Horace McCoy. Séances :
|
|
|
Jeremiah Johnson de Sydney Pollack (1972, 1h48)XIXe siècle. Lassé du monde des hommes, Jeremiah Johnson (Robert Redford), ancien soldat, décide de tout quitter et de vivre en solitaire dans les Rocheuses… Véritable fable sur la civilisation, dans les fascinants paysages de l’Utah. Séances :
|
|
|
Nos plus belles années de Sydney Pollack (The Way We Were, 1973, 1h58)Printemps 1937. Katie Morosky (Barbra Streisand), étudiante militante, fait la rencontre de Hubbell Gardiner (Robert Redford), charmeur désinvolte… De nombreuses fois récompensé, Sydney Pollack confirme son statut de grand réalisateur du Nouvel Hollywood. Séances :
|
|
|
Tootsie de Sydney Pollack (1982, 1h56)Suite à plusieurs échecs professionnels, un acteur décide de se travestir afin de décrocher un rôle féminin dans une série à succès... Film aux multiples récompenses, avec Jessica Lange et Dustin Hoffman, éblouissant. Séances :
|
Gilles Grangier - Du cinéma populaire
|
|
La Vierge du Rhin de Gilles Grangier (1953, 1h22)Sur les quais de Düsseldorf, un homme taiseux embarque à bord d’une péniche direction Strasbourg. Très vite, il éveille les soupçons… Un polar sombre qui marque le début d’une longue collaboration entre Gilles Grangier et Jean Gabin. Séances :
|
|
|
Gas-oil de Gilles Grangier (1955, 1h33)Une nuit d’orage, alors qu’il quitte son amie Alice (Jeanne Moreau), le camionneur Jean Chape (Jean Gabin) renverse – ou croit renverser – un homme. La victime se révèle être un gangster recherché… Un grand film réaliste, qui marque la toute première collaboration entre Gilles Grangier et Michel Audiard. Séances :
|
|
|
Meurtre à Montmartre de Gilles Grangier (1957, 1h32)Kelber, un marchand de tableaux, pensant rouler un de ses clients, se fait lui-même rouler et fait l’acquisition d’un faux Gauguin… Un règlement de compte inspiré d’un fait divers sur le petit monde des faussaires. Annie Girardot fait l’unanimité par son talent et son authenticité. Séances :
|
|
|
Échec au porteur de Gilles Grangier (1958, 1h27)Bastien, membre d’un gang, est abattu. Avant de mourir, il révèle qu’une bombe à retardement est cachée dans un ballon ramassé par un enfant… Un film de genre vif, à la mise en scène et l’interprétation soignées, avec Serge Reggiani, Paul Meurisse et Jeanne Moreau. Séances :
|
|
|
Les Grands seigneurs, les bons vivants de Gilles Grangier et George Lautner (1965, 1h40)Contraint par une loi tout juste votée, Monsieur Charles et Madame Blanche doivent fermer leur maison close et faire leurs adieux aux filles… Trois sketches burlesques, savoureux, délicieusement écrits, la grande équipe du polar “à la française” est réunie : Lautner, Grangier, Audiard, Simonin, Blier Séances :
|
Kinuyo Tanaka - Histoire permanente des femmes cinéastes
|
|
La Lune s’est levée de Kinuyo Tanaka (Tsuki wa noborinu, 1955, 1h41)Mokichi Asai vit à Nara auprès de ses trois filles : l’aînée veuve, la cadette peu pressée de quitter les siens et la benjamine qui rêve de s’installer à la capitale… La cinéaste impulse une vision moderne à travers ces portraits de femmes, sur un scénario de Yasujiro Ozu. Séances :
|
|
|
Maternité éternelle de Kinuyo Tanaka (Chibusa yo eien nare, 1955, 1h46)Une femme partage sa vie familiale avec une vocation étouffée de poétesse. Suite à sa demande de divorce, elle découvre qu’elle souffre d’un cancer du sein… Le film s’inspire de la vie de la poétesse japonaise Fumiko Nakajō, un film fascinant de modernité. Séances :
|
|
|
Mademoiselle Ogin de Kinuyo Tanaka (Ogin-sama, 1962, 1h42)
Au Japon, la fille du célèbre maître de thé Rikyu est amoureuse d’un catholique déjà marié. Sa famille lui impose alors un mariage de raison… Avec ce dernier film, en couleur, la cinéaste japonaise s’attaque au sujet délicat des conflits confessionnels de son pays. Séances :
|
Classiques
|
|
Cette sacrée vérité de Leo McCarey (The Awful Truth, 1937, 1h31)De retour d’un séjour avec sa maîtresse, Jerry aperçoit sa femme au bras d’un séduisant professeur de chant. Ils décident de se séparer d’un commun accord… Une des pierres angulaires de la screwball comedy, avec Cary Grant et Irene Dunne. Séances :
|
|
|
Je sais où je vais de Michael Powell et Emeric Pressburger (I Know Where I’m Going!, 1945, 1h32)Joan doit épouser un riche industriel. Alors qu’elle part le rejoindre sur une île au large de l’Écosse, une tempête l’empêche d’embarquer. Un jeune marin propose de l’héberger… Un film délicat et captivant, plein de poésie. Séances :
|
Raretés
|
|
Hard, Fast and Beautiful! d’Ida Lupino (1951, 1h18)Une jeune joueuse de tennis est déchirée entre les projets ambitieux de sa mère et ses propres aspirations… Film rare et méconnu, l’un des sept longs métrages de l’actrice Ida Lupino en tant que réalisatrice. Séances :
|
|
|
Deux sous d’espoir de Renato Castellani (Due soldi di speranza, 1952, 1h50)De retour de son service militaire, Antonio s’amourache de Carmela et enchaîne les mésaventures pour nourrir le foyer… Drôle et tendre, le film reçoit le Grand Prix du Festival de Cannes en 1952. Séances :
|
|
|
Walk on the Wild Side d’Edward Dmytryk (1962, 1h54, int – 12 ans)Un homme part à la recherche de son amour perdu. Sur la route, il rencontre une jeune femme… Sublime casting : Laurence Harvey, Capucine, Barbara Stanwyck, Anne Baxter, Jane Fonda, pour un mélodrame sensuel et poisseux. Séances :
|
|
|
Une affaire de cœur : La Tragédie d'une employée des P.T.T. de Dušan Makavejev (Ljubavni slucaj ili tragedija sluzbenice P.T.T., 1967, 1h09)De retour de voyage, un homme trompé attaque sa femme. Parallèlement, la police enquête sur la noyade d’une jeune victime… Film déroutant entre fiction et discours d’authentiques experts en criminologie. Séances :
|
|
|
Ah ! Ça ira de Miklós Jancsó (Fényes szelek, 1969, 1h21)1947. En Hongrie nouvellement socialiste, des étudiants issus d’un collège populaire débarquent dans un collège catholique, afin de convaincre les élèves de rallier leur mouvement… Une œuvre débordant d’énergie, celle d’une jeunesse engagée. Séances :
|
|
|
Sweet Sweetback's Baadasssss Song de Melvin Van Peebles (1971, 1h37, int –16 ans)Sweet Sweetback (Melvin Van Peebles) travaille dans un bordel. Un jour, un meurtre est commis devant son lieu de travail et la communauté fait pression pour trouver le coupable… Un film coup de poing qui porte la fièvre révolutionnaire de l’époque, soutenu par la bande son d’Earth Wind & Fire. Séance :
|
|
|
Variety de Bette Gordon (1983, 1h40)Christine travaille comme caissière dans un cinéma porno de New York. Peu à peu, les films projetés et les clients la fascinent… Premier film de la réalisatrice, représentante du cinéma américain indépendant et avant-gardiste. Séances :
|
|
|
Le Saut dans le vide de Marco Bellochio (2003, 1h54, int –12 ans)Mauro Ponticelli vit avec sa sœur Marta dans une relation de dépendance malsaine. Leurs souvenirs sont ceux d’une enfance aux côtés d’un autre frère, fou… La bourgeoisie, les névroses, l’hérédité, les blessures de l’enfance : Bellocchio signe un film dérangeant sur la folie. Séances :
|
Plaisirs du grand écran
|
|
La grande bellezza de Paolo Sorrentino (2013, 2h22)À Rome, un dandy vieillissant cache son désarroi derrière une attitude cynique et désabusée. Il porte sur le monde un regard d’une amère lucidité… Œuvre splendide, avec Rome pour personnage principal, Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2014. Séances :
|
|
|
Outrages (director’s cut) de Brian De Palma (Casualties of War, 1989, 1h59, int – 12 ans)Viêtnam. Le soldat Eriksson (Michael J. Fox) voit sa vie sauvée par le commandant Meserve (Sean Penn). Réunis lors d’une nouvelle mission, il est témoin des exactions de son supérieur… Bien qu’il dérange par sa barbarie, Outrages est un film marquant sur les atrocités de la guerre au Viêtnam. Séances :
|
Calendrier des séances de la Reprise de Lumière 2021
Mercredi 20 octobre
16h30 CLASSIQUES Cette sacrée vérité (L. McCarey, 1937, 1h31)
18h30 KINUYO TANAKA La Lune s'est levée (K. Tanaka, 1955, 1h41)
20h30 SYDNEY POLLACK Propriété interdite (S. Pollack, 1966, 1h50)
Vendredi 22 octobre
16h30 GILLES GRANGIER Les Grands seigneurs, les bons vivants (G. Grangier, G. Lautner, 1965, 1h40)
18h30 RARETÉS Walk on the Wild Side (E. Dmytryk, 1962, 1h54, int – 12 ans)
20h45 JANE CAMPION La Leçon de piano (J. Campion, 1993, 2h01)
Samedi 23 octobre
15h RARETÉS Une affaire de cœur : La Tragédie d'une employée des P.T.T. (D. Makavejev, 1967, 1h09)
16h30 GILLES GRANGIER Échec au porteur (G. Grangier, 1958, 1h27)
18h30 JANE CAMPION Holy Smoke (J. Campion, 1999, 1h55)
20h45 SYDNEY POLLACK Jeremiah Johnson (S. Pollack, 1972, 1h48)
Dimanche 24 octobre
14h30 GILLES GRANGIER Gas-oil (G. Grangier, 1955, 1h33)
16h30 SYDNEY POLLACK On achève bien les chevaux (S. Pollack, 1969, 2h09)
19h RARETÉS Hard, Fast and Beautiful! (Ida Lupino, 1951, 1h18)
Mardi 26 octobre
16h30 KINUYO TANAKA Mademoiselle Ogin (K. Tanaka, 1962, 1h42)
18h30 JANE CAMPION In the Cut (J. Campion, 2003, 1h59, int -12 ans)
20h45 SYDNEY POLLACK Nos plus belles années (S. Pollack, 1973, 1h58)
Mercredi 27 octobre
16h30 GILLES GRANGIER Meurtre à Montmartre (G. Grangier, 1957, 1h32)
18h30 KINUYO TANAKA Maternité éternelle (K. Tanaka, 1955, 1h46)
20h30 RARETÉS Sweet Sweetback's Baadasssss Song (M. Van Peebles, 1971, 1h37, int – 16 ans)
Jeudi 28 octobre
16h15 RARETÉS Le Saut dans le vide (M. Bellocchio, 1980, 2h)
18h30 GILLES GRANGIER Échec au porteur (G. Grangier, 1958, 1h27)
20h30 JANE CAMPION Holy Smoke (J. Campion, 1999, 1h55)
Vendredi 29 octobre
16h30 RARETÉS Une affaire de cœur : La Tragédie d'une employée des P.T.T. (D. Makavejev, 1967, 1h09)
18h30 GILLES GRANGIER Gas-oil (G. Grangier, 1955, 1h33)
20h30 PLAISIRS DU GRAND ÉCRAN La grande bellezza (P. Sorrentino, 2013, 2h22)
Samedi 30 octobre
16h30 SYDNEY POLLACK Nos plus belles années (S. Pollack, 1973, 1h58)
18h45 KINUYO TANAKA La Lune s'est levée (K. Tanaka, 1955, 1h41)
20h45 JANE CAMPION Un ange à ma table (J. Campion, 1990, 2h38)
Dimanche 31 octobre
14h30 GILLES GRANGIER Les Grands seigneurs, les bons vivants (G. Grangier, G. Lautner, 1965, 1h40)
16h30 SYDNEY POLLACK Jeremiah Johnson (S. Pollack, 1972, 1h48)
18h30 PLAISIRS DU GRAND ÉCRAN Outrages (director’s cut) (B. De Palma, 1989, 1h59, int – 12 ans)
Lundi 1er novembre
14h30 SYDNEY POLLACK Propriété interdite (S. Pollack, 1966, 1h50)
16h45 JANE CAMPION La Leçon de piano (J. Campion, 1993, 2h01)
19h RARETÉS Hard, Fast and Beautiful! (I. Lupino, 1951, 1h18)
20h30 CLASSIQUES Cette sacrée vérité (L. McCarey, 1937, 1h31)
Mardi 2 novembre
16h30 SYDNEY POLLACK Trente minutes de sursis (S. Pollack, 1965, 1h38)
18h30 RARETÉS Deux sous d'espoir (R. Castellani, 1952, 1h50)
20h30 JANE CAMPION In the Cut (J. Campion, 2003, 1h59, int -12 ans)
Mercredi 3 novembre
17h30 JANE CAMPION Un ange à ma table (J. Campion, 1990, 2h38)
20h30 GILLES GRANGIER Meurtre à Montmartre (G. Grangier, 1957, 1h32)
Jeudi 4 novembre
16h30 SYDNEY POLLACK Trente minutes de sursis (S. Pollack, 1965, 1h38)
18h30 GILLES GRANGIER La Vierge du Rhin (G. Grangier, 1953, 1h22)
20h30 JANE CAMPION Portrait de femme (J. Campion, 1996, 2h22)
Vendredi 5 novembre
16h30 RARETÉS Ah ! Ça ira (M. Jancsó, 1969, 1h21)
18h30 KINUYO TANAKA La Lune s'est levée (K. Tanaka, 1955, 1h41)
20h30 SYDNEY POLLACK On achève bien les chevaux (S. Pollack, 1969, 2h09)
Samedi 6 novembre
14h30 CLASSIQUES Je sais où je vais (M. Powell, E. Pressburger, 1945, 1h32)
16h30 KINUYO TANAKA Maternité éternelle (K. Tanaka, 1955, 1h46)
18h30 SYDNEY POLLACK Trente minutes de sursis (S. Pollack, 1965, 1h38)
20h30 JANE CAMPION In the Cut (J. Campion, 2003, 1h59, int -12 ans)
Dimanche 7 novembre
14h30 CLASSIQUES Cette sacrée vérité (L. McCarey, 1937, 1h31)
16h15 JANE CAMPION La Leçon de piano (J. Campion, 1993, 2h01)
18h30 SYDNEY POLLACK Tootsie (S. Pollack, 1982, 1h56)
Mardi 9 novembre
16h30 RARETÉS Hard, Fast and Beautiful! (I. Lupino, 1951, 1h18)
18h30 RARETÉS Variety (B. Gordon, 1983, 1h40)
20h30 GILLES GRANGIER Gas-oil (G. Grangier, 1955, 1h33)
Mercredi 10 novembre
16h30 RARETÉS Deux sous d'espoir (R. Castellani, 1952, 1h50)
18h30 KINUYO TANAKA Maternité éternelle (K. Tanaka, 1955, 1h46)
20h30 SYDNEY POLLACK On achève bien les chevaux (S. Pollack, 1969, 2h09)
Jeudi 11 novembre
14h30 KINUYO TANAKA Mademoiselle Ogin (K. Tanaka, 1962, 1h42)
16h30 GILLES GRANGIER La Vierge du Rhin (G. Grangier, 1953, 1h22)
18h30 SYDNEY POLLACK Tootsie (S. Pollack, 1982, 1h56)
20h45 PLAISIRS DU GRAND ÉCRAN Outrages (director’s cut) (B. De Palma, 1989, 1h59, int – 12 ans)
Vendredi 12 novembre
16h15 RARETÉS Le Saut dans le vide (M. Bellocchio, 1980, 2h)
18h30 JANE CAMPION Portrait de femme (J. Campion, 1996, 2h22)
21h15 RARETÉS Variety (B. Gordon, 1983, 1h40)
Samedi 13 novembre
14h30 RARETÉS Ah ! Ça ira (M. Jancsó, 1969, 1h21)
16h30 CLASSIQUES Je sais où je vais (M. Powell, E. Pressburger, 1945, 1h32)
18h30 RARETÉS Walk on the Wild Side (E. Dmytryk, 1962, 1h54, int – 12 ans)
20h45 SYDNEY POLLACK Jeremiah Johnson (S. Pollack, 1972, 1h48)
Dimanche 14 novembre
14h30 JANE CAMPION Portrait de femme (J. Campion, 1996, 2h22)
17h15 PLAISIRS DU GRAND ÉCRAN La grande bellezza (P. Sorrentino, 2013, 2h22)
Mardi 16 novembre
16h15 JANE CAMPION Holy Smoke (J. Campion, 1999, 1h55)
18h30 KINUYO TANAKA Mademoiselle Ogin (K. Tanaka, 1962, 1h42)
20h30 SYDNEY POLLACK Propriété interdite (S. Pollack, 1966, 1h50)
