Festival Lumière 2024 : prolongations !
Du mercredi 23 octobre au jeudi 21 novembre 2024
à l’Institut Lumière
Isabelle Huppert – Fred Zinnemann – Toshiro Mifune –
Costa-Gavras – Classiques en noir et blanc –
Plaisirs du grand écran – Découvertes
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Prolongez le plaisir du festival Lumière avec notre sélection
de films issue de Lumière 2024.
Isabelle Huppert, Prix Lumière 2024
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Violette Nozière de Claude Chabrol (1978, 2h04, int -12ans)En révolte contre le mode de vie de ses parents, Violette commet l’irréparable… Un drame inspiré d’une histoire vraie. Premier personnage chabrolien et premier Prix d’interprétation au Festival de Cannes pour Isabelle Huppert. Séances :
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Coup de torchon de Bertrand Tavernier (1981, 2h08)En Afrique coloniale, un policier (Philippe Noiret) est raillé pour sa faiblesse de caractère. Il trouve du réconfort auprès de son amante (Isabelle Huppert). Un jour, il se rebiffe… Une adaptation de la Série Noire de Jim Thompson où se mêlent violence et humour. Séance :
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Passion de Jean-Luc Godard (1982, 1h28)Lors du tournage d’un film, un réalisateur (Jerzy Radziwiłowicz) se détourne de son travail en découvrant la lutte syndicale d’une jeune ouvrière (Isabelle Huppert)… Un film brut à l’esthétique sublime reliant cinéma, amour et travail. Séance :
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La Cérémonie de Claude Chabrol (1995, 1h51)Sophie (Sandrine Bonnaire) travaille comme employée de maison chez les Lelièvre. Elle se lie d’amitié avec la postière (Isabelle Huppert) qui lui fait part de son hostilité à l’égard de ses employeurs… Un film féroce et brutal sur la lutte des classes. Séances :
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La Pianiste de Michael Haneke (2001, 2h10, int -16ans)Erika, professeure de piano dure et glaciale, mène une vie de célibataire endurcie chez sa mère, jusqu’à sa rencontre avec Walter… Une exploration du refoulement et des pulsions sexuelles. Double Prix d’interprétation à Cannes pour Isabelle Huppert et Benoît Magimel et Grand Prix du Jury. Séances :
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Fred Zinnemann
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Acte de violence de Fred Zinnemann (Act of Violence, 1948, 1h22)Revenu handicapé de la Seconde Guerre mondiale, Joe Parkson en tient pour responsable Frank Enley. Les retrouvailles violentes révèlent une grande trahison… Scénario fort qui mêle traumatismes des vétérans et film noir. Séances :
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C'étaient des hommes de Fred Zinnemann (The Men, 1950, 1h25)Dans un hôpital militaire, le lieutenant Ken Wilocek, rentré blessé du front, refuse de voir sa fiancée Ellen, persuadé qu’il ne lui inspire désormais plus qu’un sentiment de pitié… Premier rôle au cinéma pour Marlon Brando ! Séances :
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Le Train sifflera trois fois de Fred Zinnemann (High Noon, 1952, 1h25)Frank Miller, criminel condamné à mort cinq ans plus tôt, retourne à Hadleyville pour se venger. Le shérif tente de réunir des citoyens pour défendre la ville... Le western légendaire de Fred Zinnemann, quasi en temps réel, avec Gary Cooper et Grace Kelly. Séances :
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Tant qu'il y aura des hommes de Fred Zinnemann (From Here to Eternity, 1953, 1h58)Le soldat Prewitt est sollicité pour remonter sur le ring. Mais refusant de remettre les gants, il fait vite l’objet de constantes humiliations… Huit Oscars pour ce film engagé porté par l’excellent Montgomery Clift. Séances :
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Au risque de se perdre de Fred Zinnemann (The Nun’s Story, 1959, 2h29)Gabrielle Van der Mal entre au couvent et fait l’apprentissage de la vie de religieuse. Devenue Sœur Luc, elle essaye de se conformer aux règles et de mettre de côté sa personnalité… Audrey Hepburn remarquable, dans cette œuvre pleine d’authenticité. Séances :
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Chacal de Fred Zinnemann (The Day of the Jackal, 1973, 2h23)1963, l’OAS a été décimée et des dirigeants ont pris la relève, bien décidés à abattre le Général de Gaulle grâce à un tueur professionnel : Le Chacal… Un film politico-policier au récit haletant sans temps mort. Séances :
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Toshiro Mifune
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L’Ange ivre d’Akira Kurosawa (Yoidore tenshi, 1948, 1h38)Naissance d’une amitié teintée de violence entre un gangster malade et un médecin alcoolique… Première collaboration de Toshiro Mifune avec Akira Kurosawa, dont il deviendra l’acteur fétiche, mêlant réalisme du film noir et symbolisme d’une œuvre personnelle. Séances :
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Les Sept samouraïs d’Akira Kurosawa (Shichinin no samurai, 1954, 3h27)Un village recrute des samouraïs pour se protéger des pillages. Les paysans et les guerriers vont apprendre à se connaître… Un film épique de sabre, une fresque paysanne, un drame tout autant qu’une comédie aux accents burlesques. Inclassable ! Séances :
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La Légende de Musashi d’Hiroshi Inagaki (Miyamoto Musashi, 1954, 1h38)1600. Le jeune Takezo est gardé en captivité durant trois ans par un moine bouddhiste et devient un véritable samouraï, sous le nom de Miyamoto Musashi… Une épopée servie par la puissance de l’acteur Toshiro Mifune, toute en intensité ! Séances :
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Yojimbo d’Akira Kurosawa (1961, 1h50)À la fin de l’ère Edo, Sanjuro, un samouraï, arrive dans un village écartelé entre deux bandes rivales… Plus grand succès de Kurosawa au Japon, Yojimbo inspirera Sergio Leone pour son fameux Pour une poignée de dollars. Séance :
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Entre le ciel et l’enfer d’Akira Kurosawa (Tengoku to jigoku, 1963, 2h23)Un riche actionnaire (Toshiro Mifune) doit choisir entre payer la rançon du fils de son chauffeur et accéder à ses ambitions personnelles… Un dilemme d’une beauté plastique époustouflante, interrogeant la morale et le capitalisme. Séances :
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Soleil rouge de Terence Young (1971, 1h55)Dans l’Arizona, une bande de hors-la-loi dévalise les voyageurs d’un train où se trouve un ambassadeur japonais... Alain Delon, Charles Bronson, Toshiro Mifune et Ursula Andress au cœur d’un western où s’entremêlent fusillades, attaques d’Indiens et chorégraphies de sabres. Séances :
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Costa-Gavras
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Z de Costa-Gavras (1969, 2h07)Un député grec (Yves Montand) est tué. Le juge (Jean-Louis Trintignant) met en évidence le rôle de l’armée et de la police dans cet assassinat… Prix du jury, Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes, Oscar du meilleur film étranger pour ce thriller politique haletant. Séances :
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L’Aveu de Costa-Gavras (1970, 2h19)À Prague, un responsable politique tchécoslovaque se retrouve accusé d’espionnage au profit des États-Unis… Un an après le phénomène Z, le duo Costa-Gavras-Yves Montand s’at taque avec justesse au totalitarisme soviétique, en portant à l’écran le procès d’Artur London. Séances :
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Classiques en noir et blanc
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Pépé le Moko de Julien Duvivier (1937, 1h34)La police recherche un caïd parisien caché dans la Casbah d’Alger... Ce premier film noir et romantique à la française exalte la poésie désespérée des bas-fonds, magnifiquement porté par Jean Gabin et Mireille Balin. Séance :
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Monsieur Smith au Sénat de Frank Capra
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Un revenant de Christian-Jaque (1946, 1h47)Jean-Jacques Sauvage revient à Lyon, décidé à éclaircir les circonstances d’un accident dont il a été victime vingt ans auparavant… Louis Jouvet, Gaby Morlay, François Périer, et la truculente Marguerite Moreno. Savoureux ! Séances :
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Gilda de Charles Vidor (1946, 1h50)Ballin Mundson prend sous son aile Johnny Farrell après l’avoir sauvé. Ballin s’absente et revient marié à Gilda, l’ancienne maîtresse de Johnny... Une histoire de passion, de désir, de vengeance, portée par la sublime Rita Hayworth. Séances :
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À chacun son destin de Mitchell Leisen (To Each His Own, 1946, 2h02)Jody Norris n’a pas pu reconnaitre son enfant et a dû l’abandonner. Au fil des années elle voit grandir son fils, gardé par une autre, mais elle ne peut lui dire la vérité... Pour ce rôle complexe et délicat, Olivia de Havilland reçoit l’Oscar de la meilleure actrice en 1947. Séances :
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Dortoir des grandes d’Henri Decoin (1953, 1h42)Alors qu’il enquête sur le meurtre d’une élève dans un pensionnat, l’inspecteur Marco découvre que les jeunes filles ne sont pas aussi angéliques qu’elles le paraissent... Une comédie policière qui cache de noirs secrets remués par le grand Jean Marais. Séances :
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Rocco et ses frères de Luchino Visconti (Rocco e i suoi fratelli, 1960, 2h59)L’harmonie familiale des Parondi est brisée lorsqu’entre Rocco (Alain Delon) et Simone (Renato Salvatori) s’immisce Nadia (Annie Girardot), une jeune prostituée... Une tragédie sociale magnifiée par la mise en scène de Visconti et par ses interprètes. Séance :
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Viridiana de Luis Buñuel (1961, 1h39)Viridiana est envoyée par son couvent auprès de son oncle à la campagne. D’une grande beauté, elle réveille chez lui une folle passion... Scandale total à Cannes (Buñuel n’épargne ni la religion, ni la pauvreté ni la bourgeoisie), Viridiana remporta pourtant la Palme d’or. Séances :
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Échappement libre de Jean Becker (1964, 1h45)David un reporter, et la belle Olga sont chargés par des trafiquants de transporter trois cents kilos d’or jusqu’au Liban. Il décide au cours du voyage de garder le butin... Becker réunit à l’écran un couple devenu mythique : Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg. Séances :
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Plaisirs du grand écran
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Cinema Paradiso de Giuseppe Tornatore
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Malcolm X de Spike Lee (1992, 3h21, int -12ans)La vie de Malcolm X, figure américaine emblématique du mouvement des droits civiques, de son enfance à ses grandes heures de militant... Un biopic choc, passionnant et instructif. Ours d’argent du meilleur acteur pour Denzel Washington à la Berlinale. Séances :
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Les Évadés de Frank Darabont (The Shawshank Redemption, 1994, 2h22)Red, condamné à perpétuité, et Andy Dufresne, un gentil banquier injustement condamné pour meurtre, se lient d’une amitié inattendue... Un film de prison fort et captivant porté très justement par Morgan Freeman et Tim Robbins. Séance :
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La Reine Margot de Patrice Chéreau (1994, 2h41)Marguerite de Valois dite Margot (Isabelle Adjani), catholique, est mariée de force au protestant Henri de Navarre (Daniel Auteuil). Lors du massacre de la Saint-Barthélemy elle cache La Môle (Vincent Perez)... Un film d’une grande envergure à l’atmosphère sombre et charnelle. Séances :
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Seven de David Fincher (Se7en, 1995, 2h07, int -12ans)L’inspecteur Somerset (Morgan Freeman) fait équipe avec son futur remplaçant David Mills (Brad Pitt) pour une enquête criminelle peu ordinaire... Atmosphère étouffante et sordide, une véritable plongée dans l’obscurité avec un casting de choix. Séances :
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Che, 1re partie : L’Argentin de Steven Soderbergh
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Mommy de Xavier Dolan (2014, 2h14)Diane récupère son fils Steve (Antoine Olivier Pilon) qui était suivi pour troubles psychologiques. Le bonheur est de courte durée et les accès de violence récurrents… Porté par Anne Dorval et Suzanne Clément, un drame qui bouscule, émeut, laisse intranquille. Séances :
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Sicario de Denis Villeneuve (2015, 2h02, int -12ans)La zone frontalière entre les États-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue du FBI, doit lutter contre les cartels… Une œuvre forte, intense, portée par le personnage complexe interprété par Benicio Del Toro. Séance :
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Découvertes
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Trotacalles de Matilde Landeta (1951, 1h41)Deux sœurs que la vie a séparées, l’une mariée à un homme riche et l’autre devenue prostituée, se retrouvent manipulées par le même homme... Un mélodrame subtil dénonçant le machisme dominant. Séances :
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Rosaura à dix heures de Mario Soffici (Rosaura a las diez, 1958, 1h42)Un timide restaurateur de tableaux reçoit soudainement des lettres d’amour d’une certaine Rosaura... Une comédie de mœurs qui vire au film noir, tant dans les méandres du récit que dans sa mise en scène. Séance :
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Viol en première page de Marco Bellocchio
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Kalamita de Vera Chytilová (1980, 1h41)Honza quitte l’université pour suivre les traces de son père et devenir machiniste dans les chemins de fer. Il papillonne dans cet univers codé, laissant son père désemparé... Vif et ironique, une satire caustique sur l’amour, le sexe et le statut social. Séance :
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Ne dis rien d’Icíar Bollaín (Te doy mis ojos, 2003, 1h43)Pilar, s’enfuit. Antonio, son mari, la poursuit et lui promet de changer, de ne plus être violent. Il s’engage à suivre une thérapie... Le portrait peint avec puissance et justesse d’une femme sous l’emprise de son compagnon. Séance :
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Les expositions Marin Karmitz collectionneur
continuent dans les galeries cinéma de l'Institut Lumière :
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America, America 
Marin Karmitz présente
