Billetterie

Ciné-concerts et cinéma muet

à l’Institut Lumière

 

C’est désormais une tradition, toute l’année, l’Institut Lumière vous invite à découvrir sur grand écran les chefs-d’œuvre de la période muette. Tous les films sont accompagnés en direct au piano, un magnifique Steinway.


Avec le soutien de la Banque Populaire Auvergne-Rhône-Alpes et de la SACEM.
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Au programme 

Madame Du Barry d’Ernst Lubitsch
(1919, 1h54, N&B)

Sous l’Ancien Régime, l’ascension d’une jeune lingère (Pola Negri) qui devient la maîtresse de Louis XV (Emil Jannings)… L’un des plus beaux Lubitsch muets, superproduction historique dont l’intelligence annonce parfois des œuvres ultérieures sur la période (de Renoir à Tavernier). Le cinéaste excelle autant dans les scènes d’alcôve que dans les épisodes à grand spectacle, et l’on excuse les libertés prises avec l’histoire.

Une copie des archives du Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung de Wiesbaden.

Séance unique !
Dimanche 11 décembre à 14h30 (accompagné au piano par Paule Cornet) 

 

Monte là-dessus de Fred Newmeyer et Sam Taylor
(Safety Last !, 1923, 1h07, N&B)

Parce qu’il n’a pas aussi bien réussi que le croit sa fiancée, Harold organise un événement publicitaire pour le magasin où il travaille : l’ascension d’un building de Los Angeles… Image iconique du cinéma comique muet américain : Harold Lloyd, Monsieur tout-le-monde aux fines lunettes cerclées, accroché à une horloge au sommet d’un gratte-ciel. Une comédie légendaire !

Séance unique !
Dimanche 18 décembre à 14h30 (accompagné au piano par Didier Martel) 

 

Les Surprises de la TSF / So, This is Paris d’Ernst Lubitsch – muet
(So, This is Paris, 1926, 58min, N&B)

Un docteur paisiblement marié découvre que sa voisine, artiste de cabaret, est son ancienne maîtresse… Quiproquos amoureux entre deux couples que tout apparemment sépare. Pour son septième film américain, Lubitsch adapte un vaudeville français et multiplie les trouvailles visuelles. Le film culmine dans une scène de charleston dont l’énergie restitue bien les « rugissantes » années 1920.

Séance unique !
Dimanche 8 janvier à 14h30 (accompagné au piano par Didier Martel) 

 

Poil de carotte de Julien Duvivier
(1925, 1h48, N&B)

La vie malheureuse de François Lepic, dit Poil de carotte, maltraité par sa mère (à moustache), incompris par son père… Adaptation inventive du récit de Jules Renard, dans laquelle Duvivier montre son inspiration narrative et sa maîtrise technique (magnifiques surimpressions, notamment). L’humour y désamorce souvent le mélodrame. Duvivier en tournera une version parlante, plus réaliste, en 1932.

Séance unique !
Dimanche 22 janvier à 14h30 (accompagné au piano par Fred Escoffier) 

 

 

 

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