Billetterie

Ciné-concerts et cinéma muet

à l’Institut Lumière

 

C’est désormais une tradition, toute l’année, l’Institut Lumière vous invite à découvrir sur grand écran les chefs-d’œuvre de la période muette. Tous les films sont accompagnés en direct au piano, un magnifique Steinway.


Avec le soutien de la Banque Populaire Auvergne-Rhône-Alpes et de la SACEM.
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Au programme 

Les Ailes de William Wellman
(Wings, 1929, 2h24, N&B)

Pendant la Première Guerre mondiale, deux hommes amoureux de la même femme s’engagent dans l’aviation américaine… Superproduction ultra spectaculaire, aux combats aériens virtuoses (et réalisés sans trucage), lauréat du premier Oscar de l’histoire du cinéma. Avec Clara Bow, la séduisante « it girl » du cinéma américain de l’époque.

Séance unique !
Dimanche 5 février à 14h30 (accompagné au piano par Didier Martel) 

 

Metropolis de Fritz Lang
(1927, 2h30, N&B)

Dans la cité du futur, des ouvriers travaillent dur pour satisfaire les besoins de riches oisifs. Le fils du maître découvre cette injustice et tombe amoureux de Maria, qui rêve de réconcilier les classes sociales… Un grand classique dont la richesse visuelle a influencé nombre de cinéastes.

Séance unique !
Dimanche 19 février à 14h30 (accompagné au piano par Fred Escoffier) 

 

La Lettre écarlate de Victor Sjöström
(The Scarlet Letter, 1926, 1h04, N&B)

En nouvelle Angleterre, au XVIIe siècle, les amours scandaleuses d’une jeune femme dont le mari a disparu et du pasteur de la communauté… C’est Lillian Gish elle-même qui suggéra à la MGM d’adapter le roman de Nathaniel Hawthorne. Elle est irrésistible de beauté et d’innocence bafouée dans cette critique du fondamentalisme religieux. Un chef-d’oeuvre du Suédois Sjöström.

Séance unique !
Dimanche 5 mars à 14h30 (accompagné au piano par Fred Escoffier) 

 

Le Cabinet du docteur Caligari de Robert Wiene
(Das Cabinet des Dr. Caligari, 1920, 1h18, N&B)

Dans une fête foraine, l’étrange docteur Caligari exhibe un somnambule prédisant l’avenir. Très vite, les morts s’enchaînent dans le petit village… Film fondateur de l’expressionnisme allemand, célèbre pour ses décors distordus qui dessinent un monde de cauchemar, trouble et dangereux. Performance hallucinée de Conrad Veidt. Un classique de l’angoisse, toujours stupéfiant.

Séance unique !
Dimanche 26 mars à 14h30 (accompagné au piano par Didier Martel) 

 

 

 

 

 

 

 

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