Billetterie

Invitation à Dominique Besnehard

Casino D HiverDirecteur de casting à l’intuition légendaire, il a découvert Juliette Binoche ou Béatrice Dalle, et défendu, au sein de l’agence Artmedia, les intérêts des plus grands comédiens, de Anouk Aimée à Sophie Marceau, de Jeanne Moreau à Pierre Richard. Aujourd’hui producteur, et directeur du festival du film francophone d'Angoulême, il vient de publier Casino d’hiver (Plon), livre de souvenirs coécrit avec Jean-Pierre Lavoignat qui sera également présent.

 

 

 

Jeudi 25 septembre

19h30 

Rencontre avec Dominique Besnehard animée par Thierry Frémaux
(entrée gratuite, retrait nécessaire d’un ticket)

Séance de signature à la pause, en présence également de Jean-Pierre Lavoignat, journaliste et critique de cinéma, coauteur du livre.


DROLESSEJe 25/09 à 21h

La Drôlesse de Jacques Doillon

François, vingt ans, kidnappe Madeleine, treize ans. Tout d’abord apeurée, elle devient sa complice... Dominique Besnehard révèle avec ce film son talent de directeur de casting, en trouvant pour le rôle féminin l’épatante Madeleine Desdevises. Il restera l’un des proches collaborateurs de Doillon.

(1979, 1h30, couleur, avec Claude Hébert, Madeleine Desdevises, Paulette Lahaye, Dominique Besnehard)
Achat des places

 

 

Dominique Besnehard à propos du casting et du tournage de La Drôlesse dans son livre Casino d’hiver (Plon). Morceaux choisis :

« Dans la classe, on a remarqué une gamine intéressante. Elle était dans un coin, elle ne posait aucune question, elle écoutait, et je sentais chez elle de la sensibilité et de l’intelligence. Un coup d’œil à Mic suffit pour me faire comprendre qu’elle partage mon sentiment. On dit à l’institutrice qu’elle nous plaît. "Vous avez raison, elle est brillante, elle s’appelle Madeleine Desdevises." (…) Je me suis attachée  à Mado. Elle a été ma plus belle découverte et l’une de mes plus belles rencontres. »

« Là, sur La Drôlesse, il y avait quelque chose d’évident, de naturel, de libre. Regarder Jacques Doillon travailler, c’était extraordinaire. J’avais le sentiment de découvrir le cinéma comme un artisanat, comme un art, comme un vrai moyen d’expression personnel. J’allais plus tard retrouver la même chose avec Pialat… Jacques est plus tendre, plus doux que Maurice mais il a en lui autant d’exigence, d’émotion, d’authenticité. »

Portrait par Eric Libiot dans L'Express

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