Photo Institut Lumière © Anouck Oliviero |
Prix d’interprétation à Cannes et César du meilleur acteur pour La Loi du marché de Stéphane Brizé, il est l’un des acteurs les plus talentueux et aimés du cinéma français.
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Pendant un an, Alain Cavalier et Vincent Lindon se sont filmés. L'un cinéaste et président, l'autre comédien et premier ministre. Pater les suit à la fois dans la vie et dans une fiction qu’ils ont inventée ensemble. Une rencontre au sommet, à la fois délicate et édifiante.
Danièle Heymann (Marianne) : « Le film politique le plus ludique et pertinent du moment. »
Michel Cieutat (Positif) : « Distrayant et humaniste, doté d'une certaine philosophie critique envers notre mode de vie contemporain, Pater nous enthousiasme également par son style. »
Jean-Marc Lalanne (Les Inrockuptibles) : « Pater parle de la politique, de la parole, du pouvoir, des pères. Parfaitement. Entre la fiction et son envers, le film fait l'expérience géniale de la plus fine cloison. »
Pascal Mérigeau (Le Nouvel observateur) : « Pater s'apparente alors à une leçon de cinéma dispensée par un maître qui feint de croire que vous en savez autant que lui, vous donne à caresser l'illusion qu'à sa place vous feriez aussi bien, et c'est ainsi que l'impression vous vient que le film est autant le vôtre que le sien, que le leur. »
Pour impressionner et reconquérir sa femme, Simon, maître-nageur à la piscine de Calais, prend le risque d'aider en secret un jeune réfugié kurde qui veut traverser la Manche à la nage…
(France, 2008, 1h50, coul, avec Vincent Lindon, Fırat Ayverdi, Audrey Dana)
Clara Dupont-Monod (Marianne) : « Un chef-d’œuvre engagé, politique, dérangeant, en un mot : indispensable ! »
Elise Domenach (Positif) : « Ce personnage de sanguin introverti, de quadragénaire abandonné, égoïste et brutal, offre à Vincent Lindon l'une de ses plus belles partitions. »
Florence Ben Sadoun (Elle) : « C'est la force de Philippe Lioret: rendre visible l'invisible, sans surligner, tout en réussissant à imbriquer le tragique d'une séparation au drame de l'émigration. »
Pascal Mérigeau (Le Nouvel Observateur) : « Le film de Philippe Lioret donne à penser au cinéma que depuis des années Ken Loach fabrique inlassablement, de l'autre côté de ce channel qu'un certain Bilal venu de nulle part a décidé de traverser, fût-ce au prix de sa vie. »
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